Salut, tous les jouebbeurs, aujourd'hui je vais assez bien comparez à hier soir où je me sentait vraiment triste, a cause de ma timidité qui me rend malade et ma solitude (je n'ai aucun copain ni copine, c'est vraiment la misère): j'aurai besoin d'amour. Il m'arrive aussi d'écrire beaucoup ma misère sur un cahier.
Si je suis si timide c'est un peu à cause de mon père qui n'as jamais exprimè son amour envers moi, et qui était assez stricte: par exemple quand je n'obéissais pas il me frappais mais ce n'étais pas une petite féssée de rien du tout, il frappait assez fort (mon père ne sent pas sa force).
Maintenant cela n'arrive beaucoup moins souvent car avec le temp je me suis renfermé sur moi-même. Maintenant parlons de ma mère, il est vrai que c'était un peu mieux avec elle car elle était plus gentille, mais il y a une chose que je regrette: qu'elle ne me fasse pas de calin quand j'en avais le plus besoin.
Je vais vous raconter une partie de ma vie où j'aurais beaucoup apprécié qu'elle me fasse des calins. C'était pendant ma plus petite enfance. J'ai commencé par avoir des idées noires concernant ma mère (style qu'elle allais tuer quelqu'un ou que j'allais moi-même la tuer), ces idées me rendais trés dépréssif encore plus que ma vie actuelle. C'est pendant cette pèriode de ma vie que j'aurais eu besoin d'amour et de calin. Bien sur je me suis fais soigné, mais plus tard on a du déménagé et je n'ai pas continué mes séances de psy (que je vois en ce moment), car j'allais mieux dans ma tête et puis je n'avais pas envie de continuer. Donc a partir de ce moment là, la vie a continuer son cours, le printemp est arrivé puis l'été et enfin l'automne où j'ai recommencé mes crise de dépression. je crois me souvenirs aussi que je ne suis pas allé voir un psy pensant que ça allais être un mauvais passage et que j'irais mieux. Donc j''ai laissé passez tout ça, mais avec le temp j'ai fini par souffrir de plus en plus jusqu'à ce que ma mère remarque ma tristesse, c'est a ce moment là que j'ai décidé d'allez voir un psy que je vois depuis avril 2003 a peu prés.
Voilà je vais vous quitter maintenant en attendant patiemment vos commentaires. Encouragez moi car ce n'est pas la grandes formes.
@+ trés cher jouebeurs(euses)
Commentaires :
Re: Encouragements...
Wandess, j'aimerai savoir en quoi tu te retrouve dans ce joueb, et quelles études tu fait. Tu dis qu'il faut passer la question du "suis-je heureux?", dans mon cas la réponse serai non. Je le serai une fois que je me serai débarrassé de ma souffrance.
Le bonheur est un sentiment quasi inconnu de moi et j'aimerai pouvoir le sentir remplir mon coeur.
Ceci dit merci d'avoir parcouru un bout de mon site, et j'espère que le nombre de visiteurs accroîtront au fil du temp.
Wandess
Encouragements...
Marrant, en te lisant je me retrouve un peu. Davantage que d'habitude peut-être. Sans doute parce que j'ai aussi pas mal expliqué pendant longtmeps que ceci n'allait pas à cause de cela etc. Je cherchais du côté de mes parents. De ma famille. Du passé. De l'histoire. Je crois que c'est cela qui a déterminé en parti mes études, et puis l'envie aussi. L'envie d'enquêter, de trouver les causes de tout, comme un journaliste, comme un historien, comme un inspecteur de police ou un détective. Trop de Nestor Burma?
Je suis encore à me demander souvent si je vais bien. Suis-je heureux? En fait je crois que l'important c'est de passer cette question. Se la poser le moins souvent possible. Je crois que c'est un conseil bien plus important que de dire "Carpe Diem" ce qui ne veut rien dire.
Le bonheur n'est ni un droit, ni un devoir. Pourtant tout le monde n'a que ce mot à la bouche. Bonheur bonheur bonheur. Combien de question peut-on réussir à éviter ainsi en se contentant de se demander si on est heureux, en affrimant "je veux", "j'ai le droit"... Une quantité je pense. Et ça ne mène pas très loin. "La question du bonheur est une question qui se pose le soir avant de s'endormir". Sinon on ne se réveillerait pas.
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